réunir pour réussir

ouvert le 10 février 2014

  Ecoles

Alors que le développement et la gestion des écoles doivent être des préoccupations majeures d'une municipalité, ce sujet n'a jamais été une priorité pour la municipalité qui s'achève.

POUR UNE ECOLE RESTAUREE A SAINT-NOM
 
L’enseignement public du 1er degré relève de la compétence de la commune depuis les lois de Jules Ferry.

Les municipalités bénéficiant de l’atout de proximité sont devenues les interlocutrices incontournables des parents d’élèves  et des directeurs d’école, de sorte que nul ne peut nier aujourd’hui leur importance dans l’éducation des jeunes enfants.

Un maire soucieux du bien-être des enfants de ses administrés ne s’en tiendra pas uniquement aux dépenses obligatoires qui incombent aux communes pour le fonctionnement des écoles       (cf. art. L 212-4 du Code de l’éducation).

Si l’on reprend les promesses (dès 2004 et en 2008) du maire sortant « les besoins d’aménagement et de développement du groupe scolaire » faisaient partie de ses priorités…

L’école maternelle Jean de la Fontaine venant d’être remise à neuf, il ne pouvait s’agir que de l’école élémentaire Pasteur, où force est de constater qu’à part quelques « rafistolages » indispensables, comme les toilettes et un onéreux préau extérieur « champignon », peu de travaux ont été entrepris sur ce groupe scolaire.

En outre, avec ses 13 classes dont l’occupation est maximale et l’accueil d’une CLIS (classe pour l’inclusion scolaire) pour enfants autistes dont les élus en charge des affaires scolaires n’avaient pas mesuré l’importance en termes de locaux et d’aménagement spécialisé, l’Ecole Pasteur ne peut satisfaire aux obligations de la Réforme des rythmes scolaires.
 
UNE ECOLE EN CAPACITE D’ACCUEILLIR TOUS SES « ENFANTS »

« REUNIR POUR REUSSIR » s’engage à reprendre le « chantier » de la rénovation de l’Ecole Pasteur et son agrandissement sur le site de l’ancienne école Victor Hugo qui lui est contigüe.

  • Ce faisant, nous essaierons d’appliquer les normes H.Q.E. (haute qualité environnementale) afin de respecter les objectifs officiels.

  • Nous augmenterons le nombre de salles de classes afin d’absorber l’accroissement de la population enfantine due en partie au programme d’urbanisation Nexity.

  • Nous réexaminerons la possibilité d’ouvrir des classes internationales en liaison avec le Lycée International.

  •  Nous attribuerons à la CLIS des salles qui lui seront dédiées avec les aménagements qui s’imposent.

  •  Négligeant le report de l’obligation de mettre en conformité les locaux publics pour les handicapés, nous profiterons de ces travaux pour installer un ascenseur et faciliter l’accès de toute l’école aux personnes à mobilité réduite.

  • Des espaces seront consacrés à l’étude, à la garderie et à des locaux où les enfants pourront participer aux activités périscolaires mises en place.

DES RYTHMES SCOLAIRES EN ADEQUATION AVEC LA  CHRONOBIOLOGIE DE L’ENFANT ET FAVORISANT SON EPANOUISSEMENT

  •  Respectant les horaires définis par le Projet Educatif Territorial et validés par le Directeur Académique en Comité Départemental de l’Education Nationale, nous nous efforcerons d’offrir à un plus grand nombre d’enfants des activités à caractère sportif, culturel, artistique, scientifique ou citoyen. Nous établirons un « menu » permettant d’y participer plusieurs fois dans la semaine.

  • Nous calculerons au plus juste la participation financière des parents avec application du quotient familial et tarifs dégressifs (plusieurs enfants d’une même famille).

  • Nous proposerons aux parents une continuité cohérente pour l’enfant entre le temps des apprentissages scolaires et celui des activités périscolaires,  en garantissant une qualité et une sécurité satisfaisantes.

  • Nous serons vigilants sur le recrutement d’animateurs qualifiés qui pourront éventuellement être des personnes ne travaillant pas, mais ayant de réelles compétences.

  • Il nous faudra également renégocier avec le Conservatoire et la MLC le début de leurs propres cours afin de mutualiser les intervenants et diversifier l’offre des différents ateliers.

  • Nous étudierons la possibilité d’ouvrir la cantine le mercredi midi.

 Nous solliciterons l’avis du Conseil Municipal des Jeunes, qui n’a pas été consulté pour les rythmes.
 
Nous rétablirons un dialogue véritable et « partenaire » avec les enseignants que nous rencontrerons régulièrement afin de satisfaire au mieux leurs souhaits.